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Quelques jours de rêves

 

 

 

 

Une semaine chez Maitresse...

 

Cette fois, je vais vous conter 2 aventures qui me sont arrivées dans les derniers mois de cette  année 2014.

Mi Juillet, je recevais ce texto :

"sam es-tu libre fin Juillet, j'aurai besoin de tes services pendant une semaine? "

Dès que je lus le message de ma belle Maîtresse Angie, je lui répondis

"Oui Maîtresse, cela fait tellement longtemps que j'attends de pouvoir vous servir plusieurs jours de suite."

Aussitôt, elle me répondit :

"Très bien sam, je souhaite t'avoir à disposition lundi 28 Juillet à 7h jusqu'au dimanche 3 Août fin de journée, est-ce possible? "

"Oui, Maîtresse."

"Parfait, je te donnerai quelques consignes avant ta venue."

 

Je sautais de joie à l’idée de servir Maitresse, la voir un peu chaque jour pendant une semaine.

J'allais pouvoir me rendre utile…. Mais je savais également ce que cela sous-entendait. Quand Maîtresse n'aurait pas besoin de moi, elle me mettrait dans sa cave, dans le noir complet, j’étais à la fois excité et anxieux.

Quelques jours plus tard, Maitresse faisait monter mon anxiété.

 

"Pendant cette semaine, je t’utiliserai quand cela me sera nécessaire, le reste du temps tu seras rangé au cachot afin que je sois tranquille. De plus, pour moins de contrainte, tu seras à la diète, cela te fera du bien."

Une heure après :

"Oui, Maîtresse, j'ai hâte d'être devant vous, vous ferez de moi ce que bon vous semble."

Recevoir des messages de Maîtresse était toujours un moment excitant. Depuis que je connaissais Maîtresse, nous échangions beaucoup de textos.

C'est notre façon de communiquer. Ainsi, lorsque je ne suis pas devant elle, je reste son chien soumis 24h sur 24. 

 

Trois jours avant ma venue chez Maîtresse, je reçus un mail, en voici le contenu :

« sac à merde, je veux te voir lundi 28 Juillet à 7 h du matin, pas une minute de retard. Dès ton arrivée, tu m'enverras un texto et tu m'attendras dans le hall. Pour la semaine, tu apporteras une couverture car même l'été, les nuits sont fraîches, une bouteille d'eau et 2 ou 3 bouteilles vides pour tes pipi, des pastilles à la menthe pour avoir une bonne haleine, 4 bocaux d'asperges, une bombe désodorisante au parfum de muguet car je ne veux pas sentir d'odeurs de chien quand je descendrai te voir à la cave, un petit entonnoir, des papiers serviettes, des vêtements propres car je ne veux pas que tu me fasses honte lorsque tu m'accompagneras dans les magasins. Je pense ne rien avoir oublié. »

                                          

 Après quelques hésitations, je demandais à Maitresse :

« Un oreiller, peut-être, Maitresse? »

Et aussitôt :

"Depuis quand, les chiens ont besoin d'un oreiller pour dormir?"

Ce texto était très clair et n'occasionna pas de réponse de ma part. Il me restait 3 jours à attendre patiemment.

Le dimanche 27 Juillet :

"A demain matin, sam, 7h précises dans le hall. Je te veux habillé uniquement de ton coupe-pluie et tout nu en dessous, épilé de la tête aux pieds. "

5 minutes après :

«Oui Maitresse comme il vous plaira. » J’avoue que l’idée me plaisait beaucoup à moi aussi.

« Parfait, sac à merde. A demain.»

 

Maîtresse aimait bien me rappeler de temps en temps que sam était le diminutif de "sac à merde". Maîtresse adorait aussi faire sa chipie et m'humilier. Le fait de vouloir que je me présente tout nu sous mon coupe-pluie en était une belle démonstration.

Le dimanche soir, je m'occupais de mon épilation sans rien oublier, de la tête aux pieds comme Maîtresse me l'avait ordonné et je préparais toutes mes affaires à emporter.

Etant à 130km de chez Maîtresse, je me levais à 4h afin de ne pas être en retard. J’arrivais Porte de Champerret à 6h15.

Je suis entré dans un parking souterrain car pour une semaine, je ne voulais pas que ma voiture se retrouve à la fourrière. Une fois dans le parking, je fis un texto à Maitresse :

"Je suis arrivé, Maîtresse. A 7h précises, je serai dans le hall et je vous ferai un texto."

Je ne reçus pas de réponse.

A 6h45, je sortis de ma voiture afin de me déshabiller et d'enfiler mon coupe-pluie d'une couleur verte. Il descendait jusqu'au dessous des genoux, cachant toute nudité et c'est ainsi que je me rendis chez Maîtresse.

Le ciel étant couvert, je n’étais pas ridicule mais me sentais un peu mal à l’aise tout de même. Il me fallait faire attention que le vent ne soulève pas le bas de la cape, sous peine de me retrouver les fesses à l’air.

J'entrais dans le hall à 7h.

"Je suis dans le hall, Maîtresse"

"Parfait, je descends, attends moi à genoux"

Je me mis à genoux sur l'arrière du hall face à la porte de la cave à l'abri de tout regard non autorisé. J'entendis l'ascenseur  descendre.

La porte de celui-ci s'ouvrit, c'était Maîtresse. Elle fit quelques pas pour venir vers moi.

"Bonjour sac à merde"

"Bonjour Maîtresse "

De suite, je lui embrassais ses chaussures qu'elle me fit lécher puis elle ouvrit la porte de la cave tout en disant :

"Je suis satisfaite de ta tenue vestimentaire. "

"Merci Maîtresse. "

Nous descendîmes un petit escalier, je suivais Maîtresse. Elle s'arrêta devant la porte de sa cave qui allait me servir de cachot pour la semaine. Elle ouvrit la porte.

"Entre, sam, voici ta chambre pour la semaine."

Naturellement, j'obtempérais à son ordre. En passant devant  Maîtresse, elle souleva mon coupe-pluie pour s'assurer que j'étais bien tout nu en dessous.

"Parfait, j'espère que dans la rue, des passants se sont aperçus que tu étais nu comme une merde."

"Je ne sais pas Maîtresse, je n'ai pas osé les regarder. "

« Mets toi à quatre pattes que je vois si tu es propre et bien épilé de partout. »

Maîtresse commença son inspection.

"Ecarte bien tes fesses afin que je vois ton cul."

Je n'étais pas inquiet, j’avais épilé chaque zone méticuleusement la veille.

"Félicitations, sam."

"Merci, Maîtresse. "

"A genoux, devant moi, mains sur la tête. "

Puis Maîtresse m'expliqua le déroulement de la semaine :

 

"Tu es là pour me servir toute la semaine, chaque fois que j'aurai besoin de toi, je viendrai te chercher. Cela pourra être pour du ménage, des courses ou pour aller en promenade avec Becky afin de ramasser ses crottes. Lors des promenades et courses, je me ferai un plaisir de t'humilier publiquement. Si je n'ai pas besoin de toi, tu resteras au cachot toute la journée dans le noir complet et l'ennui, crois moi le temps va être long, très long… tu auras le temps de réfléchir à ta condition. As-tu quelque chose à me dire, parce qu’une fois le jeu engagé, il n’y aura pas de retour?"

" Non, Maîtresse."

" Je te rappelé que tu vas être à la diète jusqu'à vendredi soir. Tu n'auras pas la possibilité de manger en cachette car quand tu seras en dehors de ce cachot, tu seras toujours sous ma surveillance ou attaché. Maintenant il est encore temps pour toi de refuser et dans ce cas, je te chasse de suite."

"Maîtresse, je suis prêt et je reste avec Vous pour la semaine."

"Très bien, maintenant montre moi tout ce que tu as apporté. "

 

Maîtresse constata que je n'avais aucune nourriture excepté des pastilles menthe pour moi et 4 bocaux d'asperges pour elle.

Elle posa ma bouteille d'eau dans un coin du cachot ainsi que les bouteilles vides pour que je puisse uriner.

 

"Parfait, tu as pensé à la bombe désodorisante, ainsi à chaque fois que tu m'entendras descendre l'escalier, je veux sentir l'odeur du muguet et non l’odeur de merde puante que tu dégages."

Maîtresse savait qu'en disant cela, elle me rabaissait plus bas que terre. Elle aimait le faire. Maîtresse mit toutes mes affaires dans un grand sac, et n'oublia pas de me confisquer mon portable, afin que je perde tous mes repères.

"Bon, il ne me reste plus qu'à te laisser, toujours rien à me dire avant que je parte? "

"Non, Maîtresse "

Je ne sais pas si je vais avoir besoin de mon chien aujourd'hui car beaucoup de magasins sont fermés le lundi.

Peut-être auras tu droit à une soupe chaude ce soir !!! Peut-être, je te sortirai un peu pour la balade de Becky mais rien n'est moins sûr car une autre chienne se charge déjà de cette mission."

Maîtresse me laissa ainsi, seul dans ma nouvelle demeure sans savoir si je verrai le jour ce lundi. Une fois la porte refermée et cadenassée :

"Bonne journée, sam, amuse-toi bien."

Poliment, je lui répondis :

"Bonne journée à vous, Maîtresse".

 

Quelques secondes après, la porte de la cave se referma sur moi. Je me retrouvais seul. Après 5 minutes environ, la lumière prit congé de moi me laissant dans le noir complet avec seulement un petit filet de jour qui passait sous la porte mais vraiment tout petit.

L'enfermement, je ne le prenais pas comme une punition seulement une attente. Je comprenais bien que Maitresse ne pouvait pas me garder auprès d'elle 24h sur 24 pendant 7 jours.

Et comme elle souhaitait que je sois à la diète jusqu'au vendredi soir, elle ne pouvait pas me permettre de sortir dans la rue sans elle. Je me posais tout un tas de questions, des idées de toutes sortes, positives, négatives fusaient dans mon esprit.

Allais-je tenir enfermer dans le noir pendant de très longues heures? Allais-je tenir sans manger à l'exception d'une soupe chaude?

 

Au bout d'un moment je commençais déjà à trouver le temps long, peut-être 3 ou 4h, je ne pouvais le savoir n'ayant aucune notion de l'heure. Il fallait que je trouve une occupation pour tuer le temps.

L'idée me vint de réciter 2 punitions écrites que Maîtresse m'avait infligées dans le passé. Je les récitais chacune 100 fois. Je vous livre les textes de ces 2 punitions

 1ère punition :

"Pitié, Maîtresse pour la conduite inacceptable que j'ai eu à votre égard. Je me rends compte que je vous ai manqué de respect et je vous demande pardon humblement. Je me suis comporté comme un gros idiot et je prends conscience de ma stupidité, de ma bêtise, je suis pathétique. Je ne me mettrai plus en colère pour des choses sans aucune importance. Je resterai à ma place de soumis, la seule que j'ai auprès de vous."

 

J’ai copié cette punition 3500 fois soit vingt quatre mille lignes. C'était un record pour moi. Du coup, je la connaissais par cœur, elle était gravée dans ma tête.

 

La 2ème  punition : 

"De quel droit, j'ose m'immiscer dans la vie privée de Maîtresse, lui poser des questions et apporter des réponses toutes faites sans aucun fondement et oser traiter Maîtresse de menteuse. Maîtresse n'a pas de compte à rendre à la merde puante que je suis. Maîtresse ne ment pas. Maîtresse n'a pas à me répondre quand elle ne le souhaite pas. Maîtresse est libre à l'inverse de moi qui doit lui rendre des comptes sur mon emploi du temps, qui doit la respecter. Je me présente à genoux devant vous, Maîtresse, afin de vous demander votre indulgence."

 

Cette punition, j’ai dû la copier sept mille cinq cent fois soit soixante quinze mille lignes, record pulvérisé.

Cela m'a pris 4 mois et demi pour l'écrire, l'automne et une grande partie de l'hiver dernier.

Je me demande encore comment j’ai réussi à m’y tenir (mais cela est une autre histoire).

Il faut dire qu'auparavant je m'étais montré très insolent envers Maîtresse et que cette punition était amplement méritée et justifiée.

 

Revenons à ma solitude. Je pense que réciter cent fois chaque punition a occupé au moins 4h de mon temps.

Ensuite, j’ai dû m’endormir un petit peu.

Je me suis réveillé sans aucune idée de l'heure. Maîtresse m'avait promis l'ennui dans le noir complet, je fus servi.

Soudain, j'entendis la porte de la cave s'ouvrir. Je m'empressais de vaporiser le cachot et sous la porte afin que Maîtresse sente bien l'odeur du muguet en approchant du cachot, puis je me mis à genoux, mains sur la tête pour attendre Maîtresse.

J'entendis des pas s'approcher, mais c’est une autre porte que celle de mon cachot qui s’ouvrit.

Je fus déçu, ce n'était pas Maîtresse. Je me rallongeai sur le sol en espérant bientôt revoir Maîtresse.

De temps à temps, pour me dégourdir, je me levais pour faire des exercices physiques.

Le temps passait et toujours pas de Maîtresse. Je distinguais toujours le petit filet de jour sans que cela m'indique l'heure qu'il pouvait être car fin Juillet, il faisait encore jour à 22h.

Enfin, de nouveau, j'entendis s'ouvrir la porte de la cave. Était-ce Maîtresse? Quoiqu'il en soit, j'embaumais vite fait le cachot et me mis de nouveau à genoux, mains sur la tête. Les pas s'approchaient. Cette fois c'était bien Maîtresse.

Elle ouvrit la porte du cachot.

"Parfait, cette position, hum cela sent bon le muguet, comment va mon chien? "

"Bien Maîtresse "

"Tu t'ennuies? " Elle ne me laissa pas répondre et s‘empressa un « tant mieux, c’est ce que je voulais. »

Je ne lui répondis pas ce qui me valut, en plus une belle paire de gifles.

"Je t'ai posé une question, sac à merde"

"Oui Maîtresse, je m'ennuie "

"Ben, voilà ce n’est pas compliqué d’être poli !!! "

Maitresse faisait sa chipie, elle se moquait de moi, me rabassait comme elle aime le faire.

 

"Allonge toi, prends l’entonnoir, j’ai un petit besoin urgent."

J'obtempérais  à son ordre. Sans aucune pudeur, Maîtresse enleva son pantalon et sa petite culotte puis elle me mit le petit entonnoir dans la bouche et s'accroupit au dessus de mon visage. J'adorais le spectacle que Maîtresse m'offrait. Quel régal pour moi de voir les jolies fesses et la jolie croupe de ma Maîtresse.

"Avant de descendre, je me suis régalée des asperges que tu m’as apportées, j’espère que tu vas en profiter toi aussi? "

"Merci, Maîtresse "

Je reçus dans ma bouche via l'entonnoir, les premiers jets de ma soupe. La pisse de Maîtresse avait vraiment le goût d'asperges. Tout en me servant, Maîtresse me torturait les tétons. Elle n'avait pas son pareil pour cela. Mes tétons adorent ses caresses cruelles. A chaque pincement, j'agitais mes jambes. Maîtresse me déversa ses derniers jets.

« J’espère que tu t’es régalé, c’est tout ce à quoi tu as droit. »

« Merci Maitresse. »

 

Maîtresse se rhabilla.

"Maintenant, présente moi bien tes fesses que je les chauffe un peu avant de te laisser pour la nuit."

En me disant cela, je compris de suite que Maîtresse n'avait pas l'intention de me sortir pour la promenade de Becky. Je présentais  à quatre pattes, mes fesses à Maîtresse.

Elle se saisit d'un fouet accroché au mur du cachot et je reçus les premiers coups.

Au bout de vingt coups, je n’en pouvais déjà plus et commençais à m’agiter.

Maîtresse ne prit aucun compte de ma souffrance et les coups continuèrent à défiler sur mes pauvres fesses.

Maîtresse prenait plaisir à fouetter son chien. Après 50 coups, Maîtresse me dit :

"Te voilà prêt pour passer une bonne nuit… "

Je reçus de nouveau 5 coups très violents.

" Voilà ce qui en coûte au chien qui ne remercie pas sa Maîtresse."

"Pardon, merci délicieuse Maîtresse "

Puis Maîtresse me souhaita une bonne nuit et me laissa de nouveau seul dans la solitude et l'ennui.

J'aurai tellement aimé sortir avec Maîtresse, mais je devais me plier à ses désirs. De nouveau dans le noir, je recommençais à réciter les 2 punitions dans ma tête.

Au bout d'un moment, je m'endormis.

Dans la nuit, je me réveillais pour faire pipi dans une bouteille.

Je me rendormis presqu'aussitôt. Je dois dire que mon lit était loin d'être confortable. Je sentais les cailloux du sol sous le simple tapis que Maitresse avait laisser pour m’isoler un peu du froid.

Lorsque je me réveillais à nouveau, j’étais perdu, dans le noir… Et à tout instant, je m'attendais à entendre la porte s'ouvrir.

Je ne souffrais pas de la faim. En fait, je n'y pensais pas. Je me rendormis de nouveau. Soudain, je fus réveillé par le bruit de la porte de la cave. Je cherchais en toute urgence la bombe désodorisante et une fois trouvée, j'aspergeais tout le cachot du parfum de muguet et me mis à genoux, mains sur la tête.

C'était bien Maîtresse. A quelques mètres du cachot, Maîtresse s'exclama

"Quelle bonne odeur."

Maîtresse ouvrit  la porte du cachot

"Bonjour sac à merde, j'aime te voir à genoux, mains sur la tête, quand j'ouvre la porte de ta prison, je te félicite."

"Bonjour, Maîtresse, merci de ce compliment."

"As tu bien dormi, sam. "

"Oui, Maîtresse."

"Parfait, tu vas venir avec moi pour la promenade de Becky et ramasser ses crottes."

"Merci, Maîtresse, vous êtes bonne."

"Enfile ton coupe-pluie."

Je m'exécutais de suite.

"Enfile cela aussi."

 

Maîtresse me tendit une petite culotte en plastique de couleur blanche, sorte de couche-culotte. Nous sortîmes de la cave et une fois dans le square de sa résidence, elle me dit :

"Je veux que mon chien me suive à 2 mètres de moi, pas trop loin et pas trop près non plus afin de ne pas être incommodée par ses odeurs de chien puant."

Maîtresse continuait de m'humilier de bon matin. Comme convenu, je la suivais à 2 mètres environ.

Becky gambadait devant nous. Il devait être 6h30. Il n'y avait pas grand monde dans les rues avoisinantes de la porte de Champerret, ce qui était moins humiliant pour moi de ramasser les crottes de Becky. A un moment, nous passâmes devant un chemin. Nous nous y engageâmes et soudainement Maîtresse s'arrêta devant un passage rempli de magnifiques orties. Elle mit des gants, se baissa pour cueillir quelques branches et me dit :

"Soulève ton coupe-pluie et baisse ta culotte plastique."

Maîtresse plaça les branches dans la culotte  et la remonta sans ménagement.

"ohhhhh ouahhhh"

Je gigotais dans tous les sens tellement c'était horrible à supporter. Pendant que je faisais d'affreuses grimaces, Maîtresse éclata de rire. Elle posa fortement sa main sur le devant de ma culotte afin que cela me pique encore plus, et elle riait, elle riait de bon cœur. Bien que je souffrais, j'aimais voir Maîtresse rire à grands éclats. Nous rentrâmes et Maîtresse me conduisit de nouveau à ma place. Une fois, arrivés :

"A genoux devant moi "

"Oui, Maîtresse "

Les orties continuaient de cuire mon entre-cuisse.

"Tu as faim, sam ? "

"Oui, Maîtresse "

"Dommage, je n'ai rien préparé pour toi."

"Ce sera pour plus tard, ce n'est pas grave, Maîtresse."

"Peut-être oui"

Puis elle me dit :

"Aujourd'hui, tu as de la chance car j'ai envie de faire les magasins avec mon chien."

"Oh super, Maîtresse "

"Tu vas devoir attendre que je me prépare."

"Très bien, maîtresse "

Maîtresse referma à clef la porte du cachot et s'en alla, mais fit demi tour et ouvrit la porte du cachot. Je me mis immédiatement à genoux. Maîtresse m'administra une violente paire de gifles.

"Il me semble que tu as oublié de souhaiter une bonne journée à ta Maîtresse, la prochaine fois, tu n'oublieras pas."

"Pardon maîtresse de cet oubli "

Puis Maîtresse referma la porte et me laissa seul dans le noir complet.

 

Les orties continuaient de me piquer mais moins fortement. Je savais que la journée allait me paraître moins longue car Maîtresse m'avait annoncé son désir de faire les magasins. Je recommençais à réciter les punitions pour tuer le temps. Curieusement je n'avais pas spécialement faim.

Chez moi, seul face au frigidaire, la sensation de faim aurait été terrible mais là, dans le cachot, enfermé, je tenais le coup, j’étais content de la manière dont je réagissais. Au fil du temps, je compris que Maîtresse ne viendrait pas me rende visite dans la matinée.

Elle me faisait attendre, la chipie…

A un moment, en récitant les punitions, je me suis endormi quelques minutes ou quelques heures.

 

J'étais réveillé quand soudain j'entendis la porte de la cave s'ouvrir. Toujours les  mêmes réflexes, bombe désodorisante et à genoux mains sur la tête. Quelques secondes après, j'entends dire :

" Cela sent bon le muguet."

Entendre cela, m'assura que c'était Maîtresse. Elle ouvrit la porte du cachot et me vit à genoux, mains sur la tête.

 "Dépêche toi d'enfiler ton coupe-pluie, Becky nous attend dans le hall."

Nous nous retrouvâmes rapidement dehors. Becky était toujours contente de sortir. Ma tenue me gêna plus car il y avait du soleil et mon coupe-pluie n'était pas vraiment approprié.

Maîtresse marchait vite devant moi. Elle était en short et je la suivais à 2 mètres comme convenu la veille. Quel plaisir pour moi de la suivre ainsi et de pouvoir admirer sa jolie silhouette. Mes yeux ne quittaient pas ses jolies jambes nues. A un moment je me suis dit :

"Ah non pas maintenant…"

Becky choisit de faire ses besoins au moment où 50m devant nous 2 jeunes femmes s'apprêtaient à nous croiser et quand elles arrivèrent à notre niveau, Maitresse s’adressa à moi et me dit :

"Qu'est-ce que tu attends, sac à merde, pour ramasser?" dit suffisamment fort pour que les 2 jeunes femmes entendent. Mon visage devint écarlate tellement l'humiliation était grande.

Je me baissais sans oser regarder autour de moi mais Maîtresse ne put s'empêcher de dire aux 2 jeunes femmes qui regardaient la scène :

"C'est un bon chien obéissant."

 

Quelle honte pour moi. Il faut savoir que Maîtresse est souvent très discrète mais parfois elle se lâche et dans ce cas, bonjour l'humiliation!!!

Les crottes de Becky ramassées par mes soins, nous continuâmes notre route.

J'ose espérer qu'en me baissant les 2 jeunes femmes ne se sont pas aperçues que j'étais nu sous mon coupe-pluie avec uniquement la culotte en plastique blanche.

De nouveau, nous passâmes par le chemin des orties et bien sûr  Maîtresse prit de nouveau un plaisir sadique à me voir grimacer et gigoter dans tous les sens.

De retour dans le hall, Maîtresse me dit :

"Monte les 6 étages à pieds."

J'étais content, je ne retournais pas au cachot. Bien sûr, Maîtresse elle, prit l'ascenseur avec Becky. Une fois dans son appartement :

"Nous allons faire les magasins, va prendre une douche."

 Je m'apprêtais à rentrer dans la salle de bains quand :

"D'abord, allonge toi sur le sol, tu vas me servir d’urinoir."

Nous nous échangeâmes un petit sourire complice. De nouveau, Maîtresse m'offrait le beau spectacle de ses jolies fesses nues sur

mon visage.

"Les asperges que tu m'as apporté sont délicieuses."

Les premiers jets de Maîtresse dans ma bouche sentaient fortement les asperges et sa pisse en portait également fortement le goût ;

"Merci Maîtresse de cette délicieuse soupe."

 Cette fois-ci, Maîtresse épargna mes tétons.

"Douche et frotte bien que tu sentes bon."

Cela me fit du bien de me laver et me raser.

"Quand tu auras terminé, rejoins moi dans le salon."

"Oui, Maîtresse."

 Je m'essuyais et je la rejoignis.

"A genoux devant la table de massage "

 Sur celle-ci, Maîtresse avait posé plusieurs flacons de vernis.

 «Tends ta main droite ».

Maîtresse commença à me vernir mes ongles de couleurs différentes à chaque doigt, jaune vif, bleu, rouge, noir, violet et cela sur chaque main. Je dois avouer que je pris plaisir à la voir transformer mes ongles.

 

"Voilà, quand tu règleras mes courses, tu ne passeras pas inaperçu."

J'allais de nouveau être confronté à l'humiliation et au ridicule. Maîtresse, comme souvent, faisait sa petite peste.

Un coup d'œil à la pendule du salon m'indiqua qu'il était 14h. Après avoir fait sécher le vernis de mes ongles, Maîtresse me dit d'aller m'habiller avec des affaires propres que j'avais emmenées la veille.

Nous descendîmes, elle par l'ascenseur et moi par l'escalier. Dans la rue, je la suivais toujours à 2m environ. Nous entrâmes dans une boutique de produits de beauté.

"Reste à côté de moi, sam "

Tout bas, je dis :

"Oui, Maîtresse."

"Comment, je n'ai pas entendu"

Je dû répéter plus fort " Oui, Maîtresse "

Maîtresse ne manquait pas une occasion pour m'humilier publiquement. Heureusement, très peu de cliente se trouvait dans ce magasin.

Nous faisions les rayons et soudain Maîtresse me regarda et me dit

"Sac à merde, enlève les mains de tes poches."

 

 

 

 

Suite

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