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J'ai bien failli disparaitre...

 

C’est sam, à nouveau pour ce qui a bien failli être ma dernière histoire…

 

Maintes fois, j’ai écrit en fin de mes histoires que Maitresse pouvait décider de vous expulser à tout moment si votre comportement lui déplaisait, mais je ne croyais pas que cela pouvait m’arriver car notre relation durait depuis de nombreuses années et je me croyais protéger…. J’avais tort et Maitresse me l’a fait comprendre.

 

Comme je me trouve à 500 kms de Paris à l’Ile de Ré, nous avons une relation de domination à distance la plupart du temps et je rencontre Maitresse 3 ou 4 fois par an lors de stages de plusieurs jours.

 

La 1ère année, c'était plus pratique, j'habitais à 10 kms de chez Maîtresse et je pouvais la rencontrer beaucoup plus souvent afin de lui rendre tout un tas de services.

En 6 ans, une confiance mutuelle s'était établie, je parle au passé car ce n’est plus le cas par ma faute.

Et j’ai bien compris qu’il allait me falloir ramper mois après mois pour retrouver la confiance de Maitresse.

 

Que s'est il passé pour en arriver à cette désagréable situation ?

 

Depuis plusieurs mois, Maitresse me mettait régulièrement en garde sur ma façon d'agir envers elle.

Fin juillet, je devais faire un stage de 3 jours dont 2 enfermé dans la cave jour et nuit. A la suite d'un manque de respect dans un échange de textos, ce stage a été annulé.

Début septembre, je renouais le fil avec Maîtresse.

Nous échangeâmes de nouveau de nombreux textos et je reçus des ordres à faire.

Au fil des jours, il a été convenu que lors de mon séjour de 2 semaines à la campagne, je viendrais fin octobre faire le stage annulé fin juillet.

 

Tout allait de nouveau  pour le mieux jusqu'au soir où je lui fis ce texto :  

" Maîtresse, je ne viendrai pas fin octobre. " J’avoue que c’était un peu abrupte pour s’adresser à sa Maitresse.

Le lendemain matin, je reçus ce texto: " Je suis une nouvelle fois déçue de ton comportement, tu deviens trop irrespectueux.

envers moi. Je te laisse trouver une autre maitresse, moi j’en ai assez de tes mouvements d’humeur."

 

 Je ne répondis pas à son texto.

 

Quelques jours après, je me suis aperçu une nouvelle fois qu'il m'était impossible de sortir du monde de Maitresse. Très vite, en regardant les photos de Maitresse sur ma tablette, j'avais envie de me retrouver devant Elle.

Une semaine avant mon départ pour la campagne j’écrivis à Maitresse :    "Bonjour, Maîtresse, Je vous demande pardon pour mon comportement inadmissible que j'ai eu envers vous. Je serai à la campagne du 30 octobre au 14 novembre, est-il possible que je vienne faire le stage chez vous? »

 

Maîtresse ne répondit pas. J'avais beau faire des textos pour m'excuser, Maîtresse gardait le silence.

Cette fois le fil était rompu.  A la suite d'un énième message d'excuse, Maitresse rompit son silence :

"sam, je suis trop déçue de ton comportement, je prends le temps de réfléchir à la suite ou non de notre relation. Sache que je n’ai nullement besoin de toi. "

Je lui envoyai aussitôt " Maitresse, je vous laisse réfléchir tranquillement, j'attendrai avec patience votre décision."

 

Après le message de Maîtresse, j'étais content, le fil n'était pas coupé.

 

Le 30 octobre, je me rendis à la campagne pour 15 jours.

Le lundi 2 Novembre, je  tentais ma chance : " Bonjour, Maîtresse, je suis à la campagne, êtes-vous toujours en réflexion? 

Puis-je venir 3 jours pour le stage dont 2 jours et 2 nuits à la cave dans le noir complet et à la diète totale sans aucune visite de votre part? "

 

Presqu'aussitôt , Maitresse me répondit : " Je n'ai toujours pas retrouver l’envie de te voir. Tu m'as fortement déçu. J’en ai assez de ton comportement. J'ai d'autres soumis obéissants et respectueux qui font mes courses. Je n'ai plus confiance en toi. "

 

Je me suis dit " Mince, Maitresse me chasse de son royaume "

J‘ai relu plusieurs fois ce message avant de l’envoyer : " Maîtresse, ce n'est pas gentil de votre part de me parler de vos autres soumis qui font vos courses, car quand j'habitais à 10 km de chez vous, la 1ère année de notre relation, j'adorais vous rendre service en faisant vos courses et en les laissant derrière votre porte, vous servir  de chauffeur aussi. J'ai la nostalgie de ce temps là."

 

Maîtresse me répondit " Tu veux me rendre service ? Bien je veux devant ma porte,  lessive bio assouplissant, liquide vaisselle bio, huile d'olive bio 1ère pression à froid. Tout cela acheté au magasin bio à côté de chez moi. Ensuite 3 paquets de lingettes désinfectantes, 3 paquets de lingettes bébé que tu achèteras au supermarché. Ensuite tu iras au magasin gay à côté du BHV, tu achèteras 250 ml de lubrifiant silicone. "

 

Aussitôt, je lui envoyai ce message " Maîtresse est super gentille avec son chien, je vais pouvoir faire comme au début de notre relation, merci, Maîtresse. "

Après son message, c'est le cœur joyeux que je continuai à travailler dans mon jardin par un bel après-midi ensoleillé.

 

Quelques instants après, je reçus un nouveau message.

"Dépôt demain 11h30, ensuite tu iras me chercher une brassée d'orties, j'en ai besoin pour midi."

"Oui, Maîtresse, demain à 11h30, vous aurez les courses et les orties "

"Tu déposeras tout devant ma porte pour midi. "

"Oui, Maîtresse "

"Bien, et tu sortiras la chienne pendant mon rendez-vous car je n'aurai pas le temps Tu serviras à quelque chose au moins."

"Très bien, Maîtresse."

 

Maîtresse redevenait humiliante à souhait.

 

J'étais hyper heureux, j'allais me rendre utile à Maîtresse.

Le lendemain, je suis parti à 8h15 de la campagne. Je ne voulais surtout pas arriver en retard.

Je suis arrivé Porte Champerret à 11h10 sous la pluie.

Je consultais mon portable et Maitresse m’avait écrit :

" Les orties, tu les prends à côté de chez moi, bien sûr "

« Maitresse je vais cueillir les orties. »

" Vu le temps pourri, je te propose de m'apporter les orties pour 11h55 puis tu iras faire tranquillement les courses, ensuite quand j'aurai

terminé mon rendez-vous, tu iras sortir la chienne 30 minutes, le temps qu'elle fasse sa crotte que tu ramasseras."

"Très bien, Maitresse."

J'allais ensuite ramasser des orties. Je connaissais bien le coin car une fois Maîtresse m'y avait emmené. Elle avait cueilli  ces «petites plantes préférées» avec ses mains gantées et m’avait dit " Baisse ton pantalon et ton slip que je les range au chaud. "

Maîtresse aime faire sa sadique de temps en temps.

 

J'avais pris un sac avec moi et une fois sur place, je cueillis les belles orties que Maitresse m’avait demandées.

J'étais content de pouvoir rendre service comme autrefois.

J'attendis 11h55 pour monter au 6ème étage lui déposer le sac d'orties devant sa porte. Une fois les orties déposées, j’envoyais un texto à Maitresse pour la prévenir.

"Maîtresse, le sac avec les orties est devant votre porte "

Je redescendais quand j'entendis mon portable m'indiquant bipper.

"Rentre 2 minutes. "

 

Aussitôt, je pensais que Maîtresse allait m'infliger une paire de gifles comme elle sait si bien le faire (au mois de Mai, pendant

15 jours, j'ai gardé la marque de sa bague sur ma joue gauche) ou qu'elle allait me demander de baisser mon pantalon pour que j'aille faire les

courses avec des orties dans mon slip.

 

Elle ouvrit sa porte.  Elle était toujours aussi jolie.

Rien de ce que je pensais n'est arrivé.

Maîtresse voulait juste faire le point sur les courses à faire.

Elle était souriante et de bonne humeur.

 

Je devais prendre le métro pour aller à l'hôtel de ville puis ensuite faire 2 magasins pour les autres courses.

 

"1h30 devrait largement être suffisant, Hôtel de ville, c'est à côté."

Une fois que la mise au point fut faite pour ses courses, elle me laissa partir en m'adressant un petit sourire.

Elle est si jolie quand elle sourit.

Et puis son sourire me réconforta car le fil qui semblait définitivement coupé ne l'était plus, enfin c’est ce que je croyais. Maitresse peut se montrer très dure et déterminée et surtout qu’elle a un certain choix que je n’ai pas !!!!

 

Une fois dehors, je me rendis à la station porte de Champerret.

 

Il y avait un changement à faire et de longs couloirs à traverser.

Je savais bien qu'une heure 30 serait trop juste.

Une fois à côté du BHV, je cherchais la rue du magasin gay que Maitresse m’avait indiquée.

Je la trouvais assez facilement car dans le passé, Maîtresse m'y avait déjà envoyé.

La 1ère fois, j'avais été un peu gêné de rentrer dans la boutique pour y demander le même produit. Cette fois, je l'étais moins mais j'ai tout de même attendu d'être seul avec le vendeur pour lui demander le lubrifiant que Maitresse voulait.

 

Il était déjà 13h15 lorsque je ressortis de la boutique.

Je fis un texto à Maîtresse lui disant que je revenais lui apporter le produit puis après, je ferai les autres courses.

 

"Non, une fois revenu, tu iras promener Becky car elle ne peut pas attendre plus pour faire ses besoins, tu feras le reste des courses après."

J'arrivais chez Maitresse à 13h40.

 

"Et bien on ne peut pas dire que tu sois un rapide!!!"

 

Elle me prépara Becky et me dit : " je pense que tu n'es pas pris par le temps, tu vas donc la promener pendant 1 heure puis tu reviendras pour mes courses. »

Maitresse me donna un petit sac plastique afin de laisser les trottoirs propres.

"A toute à l'heure, sam. "

 

J'aime beaucoup Becky.

Nous partîmes en direction de Neuilly sur seine. Becky était facile à promener. De temps en temps, elle me regardait. Elle est très affectueuse.

Pendant la promenade je fis ce texto à Maîtresse

"Becky est adorable à promener, elle se tient bien."

"C'est sûr, elle adore se balader."

 

Nous nous sommes promenés pendant une bonne heure.

Je remontais Becky à sa Maîtresse puis je repartis aussitôt pour faire les courses.

 

Je me rendis d'abord au supermarché juste à côté de chez Maîtresse.  Evidemment comme quand  je lui faisais ses courses, ce n'est jamais simple de trouver les produits du 1er coup car il y a pour chaque produit plusieurs marques.

Pour être sûr de ne pas faire de bétise, je demandais à Maitresse par texto dès que j’avais un doute. Question efficacité, ce n’était pas très optimal mais j’avais peur de décevoir et que Maitresse me renvoie changer les achats qui ne lui plaisaient pas.

 

Comme lorsque je faisais régulièrement les courses pour Maitresse, quand elle me demandait 3 paquets, j'en prenais 2 en plus.

Les courses du supermarché étant faites, je me rendis juste à côté, au magasin bio. Même chose en pire…. Je ne connaissais aucun produit, j’étais perdu et je dus demander à Maîtresse  pour savoir la marque qu'elle voulait.   Si ce n'est jamais simple de faire ses courses, mais très agréable de se sentir utile.

 

 Le sac étant bien rempli, je retournais chez Maîtresse.

"J'ai fini les courses, Maîtresse, je monte les mettre devant votre porte."

 "Ok, entre 2 minutes."

Je montais et je trouvais sa porte entr'ouverte. J'entrais et Maîtresse fit l'inventaire de toutes ses courses.

"Tu fais des stocks pour moi, j’ai de quoi tenir un siège… c’est parfait. »

"Oui, Maîtresse, cela me fait plaisir "

Maîtresse me remercia.

"Maintenant vas dans la salle et attends moi à genoux "

 Oh la la, je me dis que cette fois, j'allais recevoir une raclée pour mon comportement des derniers mois.

Maîtresse me fit patienter le temps de ranger ses courses puis me rejoignit.

Encore une fois, rien de ce que j’imaginais ne se passa… Mais….

Elle fit une mise au point sur mon comportement qu'elle ne pouvait plus supporter.

Je me mis bien droit à genoux, les mains dans le dos face à Maîtresse qui était assise sur sa table de dressage.

 

Voici quelques passages de cette mise au point.

 

" Cela ne peut plus durer de la sorte."

" Oui, Maîtresse."

" Depuis quelques mois, tu me manques de respect, tu arrêtes les textos sans me prévenir, tu annules des rendez-vous sans aucun motif valable, tu fais ce que tu veux selon ton envie du jour. "

"Pardon Maîtresse "

 "Tu te permets de discuter mes ordres, quand je te demande de modifier une règle tu te permets de discuter. Mais tu oublies que quoiqu’il arrive, si j’ai décidé que cela se passerait comme cela, rien de me fera changer d’avis. Tout ce que tu peux provoquer en me tenant tête c’est mon silence… "

 " Pardon, Maîtresse " " Je ne suis qu'une merde, Maîtresse."

 

" Oui, en effet, pour moi tu n'es rien, rien si tu ne m’es pas utile à quelque chose, rien si tu ne m’amuses pas… "

 

" Je vous demande pardon, Maîtresse "

 

" Comme je te l'ai dit par texto, j'ai d'autre soumis obéissants et respectueux qui me font mes courses, mon ménage, je n’ai pas besoin de toi et ton mauvais caractère. Ce n'est pas parce que cela fait 6 ans que l'on se connait que tu dois te sentir chez toi, à mes yeux, tu n'es et restera qu'une merde."

" Oui, je sais bien Maîtresse, Vous avez parfaitement raison "

" Ici, c'est moi qui décide de tout, si tu as une requête à me faire, tu dois y mettre les formes "

 " Oui, je comprends, Maîtresse "

" La seule chose que tu as gagné par ton comportement stupide et irrespectueux, c'est d'avoir perdu toute ma confiance. "

"Je le regrette, Maîtresse, je vais tout faire pour regagner petit à petit votre confiance."

"Je l'espère sam. Surtout pour toi."

"Maîtresse , cette mise au point va s'avérer très utile pour l'avenir, j'ai bien retenu la leçon. "

"Très bien sam, tu peux te relever."

"Merci, Maîtresse "

Je me relevai et avant de me laisser partir, Maîtresse  me dit :

"Réfléchis bien à tout ce que je t'ai dit."

"Oui, Maîtresse, je suis content de toujours faire parti de votre royaume."

 Maîtresse me laissa partir en me tendant sa main afin que je la baise.

 

J’aurai aimé que Maitresse me punisse, j’en rêvais … mais Maitresse savait que cela me ferait trop plaisir et elle me punissait en ignorant mes envies.

Maitresse m’a toujours dit que pour elle punir était faire plaisir à son soumis.

Elle punit pour remercier l’autre.

La vraie punition est l’indifférence de Maitresse, la mise à l’écart loin de ses ordres, de son autorité…

 

 

 La journée s’était plutôt bien passée.

Je me rendis dans ma voiture et je profitais de ma venue sur Paris pour aller me promener. Puis je rentrai chez moi et écrivis à Maîtresse.

"Maîtresse, je suis de retour à la campagne. Votre mise au point a été très utile pour l'avenir. J'ai bien retenu la leçon.

J'ai été content de me rendre utile en vous faisant quelques courses et en promenant Becky."

Le lendemain après-midi, alors que je m'occupais de mon jardin, je pensais fortement à ma belle Maîtresse et au bout d'un moment, je pris mon portable et après quelques hésitations, je lui demandais :

 

" Bonjour, Maîtresse. Hier quand je suis venu, j'étais tout dénudé de mes poils de la tête aux pieds, je m’attendais à ce que Maitresse me punisse. Est-ce que votre chien peut venir demain. Je sais que je vous ai dit non il y a 2 jours pour juste une correction car je voulais aussi aller à la cave, mais comme je vois que Maitresse ne changera pas d’avis, je préfère avoir une sévère correction plutôt que votre indifférence. "

 

 Quelques instants après :

 "Juste une correction?"

"Oui, Maîtresse."

 "Demain, je t’attends fin de matinée ou entre 12h et 13h."

" Maîtresse pour éviter la circulation, Est-ce que je peux venir avant 7h? Vous n'aurez qu'à me mettre au cachot sans vous occuper de moi, vous pourrez  aller à votre salle de sport comme tous les matins et je devrai attendre patiemment votre retour. Vous choisirez le moment de ma correction. »

5 minutes après :

"Ok, tu arrives à 6h15 de façon à sortir Becky de 6h30 à 6h50 précises, je te rangerai ensuite le temps de m’entraîner, ensuite à mon retour, je m'occuperai de ton cul avant que tu ne ressortes Becky pour une balade  plus longue et que tu repartes. "

"Merci Maîtresse, j'ai hâte de me retrouver devant vous."

 

Je continuais de travailler dans mon jardin en pensant à la belle journée que j'allais passer avec ma Maîtresse.

De  nouveau j'entendis mon portable :

"Il faudra que tu sois efficace le matin, je te mettrai Becky dans l'escalier, tu attendras au 5ème étage."

"Maitresse, demain pas de jouissance pour le chien que je suis "

"Ok, c'est noté."

" Ton cul sera violet, pas de pitié."

 

Maîtresse était entrain de m'exciter.

 "Tu crois que je pourrai mettre une aiguille dans tes tétons?"

 "Oui Maîtresse, je pense, j'ai déjà subi cette épreuve et les couilles clouées sur une planche, autrefois avec une autre Maîtresse."

 "Avant de partir, tu prendras une grosse douche, tu frottes partout et tu mets du parfum pour sentir bon."

"Maîtresse, dois je prendre une couverture?"

 

 Je posai cette question à Maîtresse en cas où elle choisirait la cave comme cachot, qui n'est pas chauffée.

"Non pas la peine, mais je ne veux aucune odeur, tu frottes, tu récures et tu mets du parfum."

"Sois dans l'escalier à 6h15."

"Oui, Maîtresse, je partirai à 4h de chez moi."

 Le soir, je préparais tout ce dont j'avais besoin pour ne pas perdre de temps le lendemain avant de partir.

 

Pour être à 6h15 chez Maîtresse, il fallait que je me lève à 3h30, m'étant à coucher à 23h30, je passais donc une très courte nuit.

Bien sûr, avant de m'endormir, j'étais tout excité à l'idée que dans très peu de temps, Maîtresse allait m'infliger une belle correction.

Je me levai donc à  3h30 et à 4h en partant je prévenais Maitresse.

A cette heure là, je savais que je n’aurais pas de problème de circulation et j’arrivais donc tranquillement à 5h30.

Ma voiture garée, je prévenais, Maîtresse, de mon arrivée.

Pour tuer, le temps, je me rendis dans un café, Porte de Champerret. 

A 6h03 : " Puisque, tu es là, monte à 6h10 et attends becky au 5ème. »

Quand je reçus ce texto, j'étais encore dans le café. Je me dépêchais pour aller chez Maîtresse.

A 6h08 : " tu es au 5ème, sam?"

"Maîtresse, je suis entrain de monter les escaliers. "

Arrivé au 5ème, Becky descendit.

J'entendis Maîtresse me dire " retour 6h40."

Tout doucement, je lui dit "Oui, Maîtresse."

Je redescendis avec Becky, toute contente de retrouver son compagnon de route.

 A 6h39, nous primes l'escalier car l'ascenseur n'est pas fait pour les chiens. Maîtresse me l'avait appris.

"Nous sommes derrière votre porte, Maîtresse."

Maîtresse nous fit attendre un petit moment.

La porte s'ouvrit et après avoir salué Maîtresse comme un chien sait le faire,  elle me dit :

"Vas dans la salle et attends moi tout nu, à genoux, mains sur la tête"

Les portes de son royaume s'ouvraient.

Très vite, Maîtresse me rejoignit. Elle me mit  un collier autour du cou, un baîllon qu'elle prit soin de bien serrer et une cagoule sur le visage me privant de toute lumière.

  "Suis moi. "

 Maîtresse me prit le bras pour me guider jusqu'au  placard qui lui servait aussi de cachot pour les chiens comme moi.

"Entre dedans et assieds toi sur le plancher."

 Je connaissais bien ce cachot pour y avoir été enfermé maintes fois.

Maîtresse commença à m'attacher les mains. A ce moment, je réussis à faire comprendre que je devais pouvoir me saisir d'une bouteille

vide pour faire mes besoins. Elle s'étonna que je ne puisse me retenir pendant 3heures.

Mine de rien, elle venait de m'annoncer la durée minimum de mon enfermement.

"Dommage, je voulais t'attacher les mains d'une autre façon "

"C'était très excitant de se faire attacher. Je sentais les mains de Maîtresse sur les miennes. Maîtresse ne m'attacha pas les jambes  car elle savait que j'avais un problème avec un genou. Elle se contenta de me lier les mains collées l'une sur l'autre devant moi.

"Essaie d'attraper la bouteille pour ta pisse."

 Comme je pouvais bouger les doigts, je saisis la bouteille.

"Je ne veux pas une seule goutte de ta pisse sur mon plancher sinon je te chasse."

 Je fis un oui Maîtresse  étouffé par le bâillon.

"Avant de te laisser, j'ai une surprise pour toi."

 Qu'est-ce que cela pouvait être ? Elle s'absenta un court instant et revint en me disant :

"Ecarte tes jambes "

et aussitôt " ohhhhhhh"  qui fut également étouffé. Maîtresse rigolait du spectacle offert. 

Elle me dit :

"C'est mon jardinier qui m'a apporté de belles branches d'orties."

Je continuai de pousser des cris étouffés.

Maîtresse  en avait cure et me dit :

"Arrète de gesticuler ou je t'en mets une."

Les orties me brûlaient les bourses.

"J’en ai assez, je te laisse sac à merde, tu vas pouvoir longuement méditer sur la correction que je vais me faire un plaisir de t'administrer et crois moi, tu ne vas pas être déçu."

Elle ferma à clef la porte du placard.

"A tout à l'heure sac à merde et médite bien "

J'étais dans le noir complet. Très vite, j'entendis Maîtresse partir, me laissant seul enfermé, pour aller à sa salle.

Quand je suis arrivé, son sac était prêt et Maîtresse était en tenue de sport.

Chaque jour, Maitresse prend soin d’elle pour rester toujours en forme et garder ses jolies formes.

 

Ce que je vais écrire maintenant, Maîtresse va le découvrir en lisant cette histoire.

Je ne lui ai pas dit ce que j'avais fait réellement pendant cette longue pénitence.

Très vite, comme Maîtresse m'avait dit qu'elle me chasserait en cas où je laisserai une seule goutte de pisse sur le plancher de son cachot, j'ai voulu faire un essai pour attraper la bouteille  et voir si c'était possible de pisser correctement dans la bouteille.

En restant assis, je me rendis compte que c’était impossible. Je savais que je ne pourrai pas tenir 3 heures sans  avoir besoin d'évacuer mon urine.

J'ai donc soulevé la cagoule (ce qui ne servait pas à grand chose car le jour n'était pas encore levé. Ensuite, j'ai enlevé la boule de ma bouche et à l'aide de mes dents, j'ai cherché  à défaire les liens de la corde qui emprisonnaient mes mains, mais je n'y suis pas arrivé. Maîtresse savait sans doute que j'essaierai de libérer..... Tant bien que mal, j'ai réussi à me lever et là, j'ai réussi à mettre le bout de mon sexe dans le goulot de la bouteille. Malgré la complexité de la chose, je fus rassuré.

 

Je m'asseyais de nouveau sur le plancher  en faisant attention de ne pas perdre l'équilibre.

Je savais qu'à un moment l'envie me viendrait.

En me rasseyant, j'ai heurté de ma main quelque chose. En la tâtant du  bout de mes doigts, cela devait être un rouleau de tapis en mousse pour la gymnastique de Maîtresse.

Je le couchais sur le sol, puis tant bien que mal, je posais la tête dessus.

Quel merveilleux oreiller.

Cette position soulageait mes fesses de la rudesse du sol. M'étant levé de très bonne heure, je me suis dit qu'un petit somme me ferait le plus grand bien.

La position n’était tout de même pas très confortable mais bon, un cachot ce n'est tout de même pas le club Med!!!

Je me suis pratiquement endormi aussitôt. J'ai été réveillé par une envie pressante de faire pipi. Je me dis que cette envie était la bienvenue car que ce serait il passé si Maitresse m'avait surprise entrain de dormir confortablement (enfin presque) ???

Je me suis levé avec la bouteille w.c à la main, j'ai dévissé le bouchon et tant bien que mal, le bout de mon sexe est entré dans le goulot de la bouteille.

J'appréhendais le 1er jet car il ne fallait surtout pas que de la pisse tombe sur le sol.

J’y allais tout doucement, je fus rassuré de mon exploit, enfin si on peut dire !!!.

Malheureusement  en voulant me rassoir le bouchon de la bouteille m'échappa. Si Maîtresse avait été là, elle aurait encore dit "Mais quel maladroit " suivi d'une bonne paire de gifles.

Je tâtais le sol pour retrouver le bouchon, mais celui-ci avait glissé sous la porte, je ne pouvais le récupérer.

Je mis avec une grande attention la bouteille dans un coin du placard cachot. Le jour s’était levé, j’y voyais légèrement.

Ayant dormi, je n'avais plus la moindre idée de l'heure et comme Maîtresse pouvait revenir  d'un instant à l'autre, j'ai remis la boule du collier dans ma bouche et du bout de mes doigts je remis la cagoule à sa place.

En fait, j'avais dû dormir un bon moment car très rapidement, j'entendis  Maîtresse ouvrir la porte de son appartement et ses premières paroles

fûrent : " oh tu es là mon amour."

Ces belles paroles étaient destinées à son chat qu’elle adore.

J'entendis Maîtresse s'approcher du cachot.

Allait-elle  me rendre visite pour voir si j'allais bien ?

Pas du tout, Maîtresse entra dans sa salle de bains sans se préoccuper de moi comme si je n'existais pas.

Je dois dire que cette situation m'excitait beaucoup. Maîtresse m'ignorait totalement.

J'entendis de l'eau coulée dans son lavabo. Maîtresse était sans doute entrain de laver ses affaires de sport. Au bout d'un moment elle sortit et ouvrit soudainement la porte du placard.

 "Tu vas bien, sac à merde? " tout en  me donnant un coup de pied sur mes cuisses.

 Un "Oui Maîtresse " étouffé sortit de ma bouche.

 "Très bien, continue de méditer sur la correction que tu vas recevoir."

 Maîtresse referma sèchement la porte du cachot.

Ouf, Maîtresse ne s'était aperçue de rien.

C'est sûr que quand elle lira comme vous ce récit, la prochaine fois, elle m'attachera plus efficacement.

Ma pénitence continuait donc.

Apparemment Maîtresse n'était pas pressée et s'amusait de savoir que je languissais sur la correction promise.

Forcément, je méditais sur cette fameuse correction. Je me demandais si Maîtresse serait dure et sans pitié, je sais qu’elle peut l’être.

J'entendais tout ce que faisait ma jolie Maîtresse.

De nouveau, elle ouvrit la porte du placard et se baissa pour m'enlever la cagoule  "si elle savait " me suis-je dit.

"Tu vas respirer ma bonne odeur de pieds qui sortent de la salle" et elle me scotcha sa chaussure pleine de sa transpiration sur le visage.

J'aimai le contact de ses douces mains sur mon visage pour maintenir la

chaussure.

Maîtresse savait être humiliante à souhait.

Et j’aimais cela.

 

Puis maîtresse referma à clef la porte du placard.

Dans ce placard, il y avait un peu de tout, mais surtout des porte-manteaux où Maîtresse rangeait ses vêtements de dominatrice. Lorsque Maîtresse était partie, je me suis levé pour humer les bonnes odeurs.

Maîtresse dispose de jolies tenues très excitantes.

Je ne savais pas quand elle déciderait du moment propice pour s'occuper sérieusement de mes fesses. Je dois dire que c'était très excitant d'être enfermé et de l’entendre vivre.

Je n'osais pas bouger car il fallait que je respecte le silence absolu, Maîtresse ne voulait pas m'entendre.

Plus de bruit. Elle ne pouvait pas dormir, nous n'étions le matin.

Que faisait-elle? Soudain, j'entendis le bruit de ses pas avec ses chaussures à hauts talons se diriger vers…. le placard.  Elle approchait et ouvrit :

"Il est temps que je m'occupe de tes fesses."

Le jour me permit d'admirer ma belle Maîtresse en tenue de dominatrice. Elle se baissa pour me détacher les mains et me dit

" Alors, c'est bon l'odeur de ma chaussure, tu as aimé?

Je lui faisais un signe positif de la tête.

" Sors et vas dans la salle te mettre à genoux devant la cheminée."

Quelques instants après, Maîtresse me rejoignit

" Il est temps de passer aux choses sérieuses, écarte les jambes en cambrant bien tes fesses que je t'attache."

Bien qu'ayant sa chaussure de sport sur mon visage, je pus voir Maîtresse s'accroupir me laissant découvrir ses très belles jambes ainsi que son très joli décolleté.

Un peu d'excitation avant la correction, cela ne pouvait pas me faire de mal, me dis-je tout bas.

Et c'est vrai que Maîtresse est très excitante à regarder, la nature a bien fait les choses pour elle.

Une fois attaché, Maîtresse me dit :

" Mais sac à merde, tu as pissé sur le sol, cela sent la pisse"

  Je fis un signe négatif de la tête

 " Pourtant ça put la pisse, tu ne sens pas? "

 Je ne pouvais pas sentir autre chose que l'odeur de sa chaussure trempée de sa transpiration.

"Mince c'est Kiss qui a pissé, tu as les mains en plein dedans. Quel petit salopard celui-là ! "

Maîtresse n'était pas contente après son chat lui promettant à elle aussi, une dérouillée.

Cela m'amusait d'entendre Maîtresse car je sais qu’elle est incapable d'infliger une correction à son chat, elle lui passe tout, pas comme à son chien !

"Avant de m'occuper de ton cul, je vais nettoyer, cette odeur de pisse m'incommode."

"Cela ne me dérange pas que tu aies le nez dessus, mais moi je ne supporte pas cette odeur. »

Maîtresse avait ce don, mine de rien, d'être humiliante.

Moi, j'aimais bien cette situation car je profitais une nouvelle fois de la vue sur ma belle Maîtresse, accroupie devant moi.

 

Puis elle m'enleva la chaussure collée sur mon nez et le baillon de ma bouche.

"Tu sais la raison pour laquelle tu vas être sévèrement puni, sam?"

"Oui, Maîtresse , c'est parce que je me suis mal conduit envers vous ces derniers temps, je vous ai totalement manqué de respect."

"Oui, en effet !!!"

 

"100 coups sans aucune retenue et sans aucun échauffement."

Maîtresse va être très dure, me dis-je, inquiet.

"Ah, j'oubliai une chose essentielle "

Maîtresse ouvrit un tiroir et en sortit de belles pinces. Elle s'abaissa de nouveau pour me les accrocher sur mes tétons.

Une nouvelle fois, Maîtresse offrait sa silhouette excitante à mes yeux.

Elles ne me paraissaient pas trop douloureuses.

Maîtresse se releva et me dit :

"Je vais commencer par ton fouet, il me plait beaucoup."

Maîtresse l'avait déjà essayé une autre fois sur mes fesses et celles de la chienne.

"Tu es prêt sam?"

"Oui Maîtresse."

Grand silence qui ajouta un peu plus de crainte.

"ohhhhhh" Je venais de recevoir le 1er coup. Maîtresse ne m'avait pas menti, il n'y avait pas d'échauffement.

Le 1er coup fut très violent, faisant siffler la lanière du fouet. A cet instant, je me dis qu'il me serait impossible de supporter 100 coups.

"Je veux que tu comptes les coups et me dises merci Maîtresse, tu as compris? "

"Oui, Maîtresse."

Le 2ème coup atterrit sur mes fesses d'une même violence que le 1er

"2, Merci Maîtresse"

Cette fois Maîtresse frappait très fort. Quel dommage que je ne puisse voir Maîtresse me frapper, me dis-je tout bas.

En fait, dans son donjon, il serait bien que Maîtresse installe une double glace.

Maîtresse doit être une déesse lorsqu'elle lève le fouet pour l'abaisser violemment sur mes fesses offertes.

"3, Merci Maîtresse "

Cela avait à peine commencé que je transpirais déjà. Maîtresse n'était pas pressée et s'appliquait à prendre la position idéale pour frapper le plus efficacement  possible mes pauvres fesses.

Au 10ème coup, Maîtresse me dit :

"Changeons un peu de matériel, oh cette baguette me plait bien, regarde comme elle est belle."

Maîtresse commençait à bien s'amuser

"Tu as déjà de belles traces sur ton cul."

 

Sans savoir pourquoi, je me surpris à dire Merci, Maîtresse.

Je redoutais le 1er coup de cette nouvelle arme que Maîtresse avait entre les mains.

Une nouvelle fois, Maîtresse prit tout son temps me faisant redouter un peu plus la douleur que j'allais fatalement ressentir. 

"11 , merci Maîtresse."

 

Je restais persuadé, qu'à un moment donné, je serai obligé de dire "Pitié, Maîtresse , je n'en peux plus. "

Je transpirais de plus en plus "12, Merci, Maîtresse."

"Il est bien ce coup, je suis contente de moi." Maitresse me moquait de moi.

 

"13, Merci Maîtresse."

Ce coup fut donné encore plus fortement.

Maîtresse jubilait de me voir me trémousser dans tous les sens, elle faisait sa sadique et elle aimait cela.

Au 20ème coup : "Je vais de nouveau changer de baguette." 

"Regarde, celle là est encore plus redoutable."

Maîtresse se fit un plaisir de me faire voir cette nouvelle arme qui était encore plus épaisse que la précédente.

Pour me rassurer, elle crut bon de me dire :

"Celle là est très efficace, crois moi, tes fesses vont s'en souvenir."

Maîtresse avait ce don incroyable de me rassurer!!!

Maîtresse se mit en place.

Je savais maintenant qu’elle n'allait pas ménager sa force.

Il ne fallait pas que je crie. Je me préparai mentalement à recevoir ce 1er coup de cette terrible baguette. 

« 21, merci Maîtresse. » J'avais de plus en plus de mal à remercier Maîtresse après chaque coup.

" Tu vois, je te l'avais bien dit que cette baguette était redoutable. » Maîtresse continuait d'être ironique à souhait.

Bien que les coups me faisaient souffrir, je ne voulais pas lui demander pitié.

 

Le 30ème coup me fut insupportable .Maîtresse rigolait de ce coup qu'elle venait de m'administrer mais me dit :

 "Je n'ai pas entendu ton merci, tant pis pour toi, ce coup est annulé."

Décidément, Maîtresse tenait une forme du diable. Et de nouveau

"30, merci Maîtresse."

" Tu sauras à présent ne pas oublier de me dire Merci Maîtresse après chaque coup. »

" Oui, Maîtresse."

C'était sûr que je n'allais pas oublier la leçon qu'elle venait de me donner.

Après ce 30ème coup bis, c'est avec satisfaction que je l'entendis dire

"Bon, je t'accorde une pause de 5 minutes."

"Oh, Merci Maîtresse."

 

Naturellement, je restais dans la position attachée, à quatre pattes devant la cheminée.

Maîtresse sortit 30 petites secondes sur son balcon puis revint devant moi et me dit avec son plus beau sourire :

"Regarde, ce que je t'ai ramené du balcon."

Mince Maîtresse avait trouvé un autre supplice redoutable, elle venait de cueillir quelques branches d'orties.

"Ecarte bien tes jambes et cambre bien ton cul."

Bien que je redoutais l'épreuve, j'obtempérais à son ordre, du reste avais-je le choix!!!!

Elle se baissa derrière moi et...... je tortillais mon popotin dans tous les sens. Maîtresse n'épargna pas non plus mes couilles et mon sexe qui s'offraient généreusement à sa main gantée.

Plus je gigotais et plus Maîtresse rigolait.

" Merci sam de m'offrir ce beau spectacle"

Maîtresse excellait dans son art de la domination. Elle sait que je n'aime pas cette épreuve mais elle ne peut pas s'empêcher de s'amuser avec des orties.

"Bon reprenons les choses sérieuses " Elle reprit mon fouet.

"31, Merci Maîtresse."

 

Maîtresse n'avait rien perdu de sa force, mais je supportais à présent mieux les coups, mes fesses étaient bien chaudes pour recevoir la suite de la correction.

De temps en temps, je jetais un œil sur le côté et j'apercevais le bas des jambes de Maîtresse qu'elle avait merveilleuse.

Je pus constater qu'elle avait un joli petit tatouage au dessus de son pied gauche.

J'aurai voulu en voir plus, mais dans la position où je me trouvais, cela m'était impossible.

En plus des coups, je commençais à sentir sérieusement l'effet des pinces sur mes tétons. Les coups continuèrent de pleuvoir toujours avec la même force. Au 50ème coup " je t'accorde une nouvelle pause afin de reprendre quelques forces."

"Merci, Maîtresse."

Bien entendu, Maîtresse parlait de ses forces à elle mais je fus cependant soulagé de ce petit répit.

"Je te laisse seul 10 minutes pour méditer  sur la 2ème partie de ta correction qui sera aussi efficace que la 1ère. »

Un peu de repos me fît le plus grand bien.

Il me fallait encore supporter 50 coups et peut-être plus selon les désirs de Maîtresse.

Les pinces torturaient mes tétons de plus en plus. Je pensais à la suite. Maîtresse revint dans la salle.

" Bien, reprenons, tu sais tes fesses sont déjà marquées, je suis contente de moi "

" Où en était-on, sac à merde ?"

" 50 coups, Maîtresse."

"Très bien, je voulais savoir si je pouvais te faire confiance."

"Merci, Maîtresse "

 

De nouveau, Maîtresse laissa s'écouler un laps de temps dans le plus grand silence avant que le 1er coup ne tombe.

"51, Merci Maîtresse."

"Tu peux constater que j'ai récupéré mes forces."

"Oui Maîtresse, merci Maîtresse."

Elle accompagnait ses coups de petits commentaires.

"Tiens sale chien, tu récoltes ce que tu mérites " " Tu commences à comprendre que tu dois rester respectueux envers ta Maîtresse? "

"Oui, Maîtresse, je ne recommencerai plus."

Au 75ème coup, Maîtresse fit une nouvelle pause de 5 minutes. Elle revint et dit :

"De plus en plus intéressantes tes fesses à regarder."

Maîtresse faisait sa grande chipie.

"Alors, sam, tu es prêt? "

"Oui, Maîtresse."

Il ne restait plus que 25 coups, enfin si....

Le 79ème coup me fit sursauter violemment ce qui provoqua  un mouvement brusque de ma main gauche sur la chaine des pinces

et une extrême douleur sur mes 2 tétons.

Avant que le 80ème coup ne s'abatte sur mes fesses, je dis "Pitié, Maîtresse, pouvez-vous m'enlever les pinces de mes tétons avant de continuer?"

"Mais quel douillet, tu fais !!! "

Maîtresse obtempéra toutefois à ma demande.

Le moment où Maîtresse m'enleva les pinces me provoqua un petit cri de douleur.

En se baissant, Maîtresse m'offrait de nouveau le spectacle de sa silhouette.

"Merci, Maîtresse, vous êtes bonne."

« Je suis juste plutôt et donc je vais reprendre ta correction à 70."

Mince, Maîtresse faisait de nouveau sa garce.

"71 merci Maîtresse."

 

Cela commençait à devenir très dur pour mes fesses, il fallait que je tienne coûte que coûte. Les coups continuèrent de tomber les uns après les autres.

Nous étions arrivés au 94ème coup quand Maitresse crut bon de dire :

 

"Il est fort possible que je refasse une nouvelle série de 100 coups, qu'en penses-tu, sac à merde?"

"C'est vous qui décidez, maîtresse "

Tout en disant cela, j'osais espérer que Maîtresse bluffait car c'était sûr que je n'allais pas pouvoir endurer une nouvelle série de 100 coups.

Enfin le 100ème coup arriva de la même force que les 99 précédents. Qu'allait faire Maîtresse?

J'avais vraiment peur de sa décision.

"Regarde ton cul dans la glace."

Je m'empressais de voir l'état de mes fesses.

"Maitresse, vous les avez mises dans un état comme jamais vous ne l'avez fait."

A coup sûr, mes fesses allaient garder un souvenir cuisant au moins pendant 3 ou 4 semaines.

"J'espère que tu as retenu la leçon? "

" Oh que oui, Maîtresse."

"Allonge toi sur le sol, face à ta moi."

Après la correction, le réconfort, me dis-je, Maîtresse allait peut-être m'offrir son champagne intime mais je compris qu'il n'en serait rien quand je l'ai vu prendre 2 petits essuie-mains. Je savais ce qu'elle allait faire.

Maîtresse s'assit à califourchon au-dessus de ma tête.

"Il me semble que tes tétons sont jaloux de tes fesses."

"Oui, Maîtresse."

 

Maîtresse est une experte en tétons.

Elle commençait ses douces tortures à l'aide des essuie-mains. Comme à mon habitude, je la provoquais en souriant à ses tortures mais bien sûr à ce petit jeu, Maîtresse gagnait toujours.

Elle pinçait mes tétons de plus en plus fort avec ses ongles, ce qui occasionna un début de grimace.

Maîtresse en avait cure, plus je grimaçais, plus elle me les pinçait dans tous les sens.

Maîtresse souriait et rigolait de bon cœur devant le spectacle que j'étais en train de lui offrir.

Elle savait que j'adorais ce supplice.

Jamais je n'ai eu une Maîtresse qui savait si bien torturer mes tétons.

 

"Arrête de te tortiller comme un ver."

Le traitement dura 10 bonnes minutes. A coup sûr mes tétons allaient eux aussi garder un bon moment le souvenir des ongles de Maîtresse.

Elle se releva, admirable dans sa belle tenue.

Je lui demandais timidement

" Avez-vous Maîtresse du champagne frais? "

Bien sûr je parlais de sa pisse.

"Non tu ne le mérite pas, cela te ferait trop plaisir."

J'étais fort déçu, car c'est toujours un beau spectacle pour mes yeux de voir s'accroupir Maîtresse au dessus de mon visage.

 

"Maintenant, je t'autorise à te masturber devant moi."

"Merci Maîtresse."

"Mais fais attention, je t'interdis de jouir."

 Je restais couché sur le sol et je commençais à me masturber en regardant les jambes galbées et la petite culotte sous sa jupe.

 Je pris soin de me caresser lentement. Au bout d'un moment, je dis

"Maîtresse, puis-je me mettre à genoux devant vous pour continuer à me masturber? "

"Très bien sale chien, mets toi à genoux devant moi et continue à t’astiquer."

 

Je continuais de prendre tout mon temps, il ne fallait surtout pas que je jouisse.

"Ouvre la bouche."

Maîtresse me cracha dans ma bouche ce qui me provoqua une belle érection.

Je dus me retenir pour ne pas éjaculer mon sperme sur son sol.

"Merci, Maîtresse "

"Maintenant, je vais compter lentement jusqu'à 10 et après, tu arrêtes immédiatement de te masturber, tu as compris grosse merde."

"Oui, Maîtresse "

Etant à genoux, je ne distinguais pas bien les formes de Maîtresse, il faisait sombre.

Le compte à rebours  commençait.

Elle comptait effectivement très lentement, j'en profitais un maximum. 

" 9...... 10 "

J'arrêtais immédiatement de me branler devant Maîtresse.

"Bien, maintenant dépêche toi de te rhabiller pour sortir Becky." 

"Oui, Maîtresse "

5 minutes après, j'étais dehors avec Becky pour une promenade d'une heure. A notre retour, Maîtresse me dit :

"Je suis contente de toi, sam, tu t’es bien comporté."

"Merci, Maîtresse."

J'étais très content de ce beau compliment. Maîtresse me laissa repartir.

Je garde un souvenir cuisant mais salvateur de ce passage chez Maîtresse.

 

Ce que Maîtresse ne sait pas, c'est que comme je n'avais pas joui, je suis allé voir une prostituée de la rue st Denis, je voulais que la correction infligée par Maitresse soit vue par une autre femme.

Dans le studio de la prostituée, je m'arrangeais pour que celle-ci voit mes fesses et elle me dit " Mon lapin, qui t'as mis les fesses dans cet état? "

Mon adorable Maîtresse de la porte de Champerret."

"Elle ne t'a pas loupé."

Effectivement, Maîtresse ne m'avait pas loupé car 3 semaines après mes fesses gardent encore le souvenir de sa main ferme.

 

Un conseil, ne vous amusez pas à manquer de respect à Mademoiselle Angie, sinon, il vous en cuira.

Avant de partir en vacances pour 15 jours, Maîtresse m'a laissé ce message sur mon ordinateur.

"Voila ta punition pour les vacances afin de t'occuper pendant que Maîtresse est au soleil.

A écrire 500 fois.

« Je prends conscience que je ne suis qu'une merde aux yeux de Maîtresse. Je ne comprends pas pourquoi, je me sens obligé de lui tenir tête et vouloir avoir raison alors que de toute façon Maîtresse aura le dernier mot, et ce pour une bonne raison, c'est que Maîtresse se fiche que notre histoire s'arrête alors que moi, sam, je ne peux pas vivre sans l'autorité de Maîtresse. Je vais faire de mon mieux pour plaire à nouveau

à Maîtresse, la respecter, ne plus la décevoir. Je sais qu'il n'y aura plus de joker, je les ai déjà tous utilisés. Merci, Maîtresse »

 

Lorsque tu écris cette punition, tu mets impérativement ton plug dans ton cul et les pinces à tes tétons.

Il n'y aura pas de récompense avant mon retour et à condition que je sois satisfaite de la totalité de tes écrits.

Bonnes vacances , sam.

                                              Maîtresse

 

En fait cette punition représente cinq milles lignes.

Pas de récompenses voulait dire, pas de masturbation et encore moins de jouissance.

Bien entendu, les ordres de Maîtresse ont été réalisés. Pendant ces vacances mon plug a rendu visite à mon trou, de nombreuses fois.

A tous ceux qui ne connaissent pas Maîtresse Angie, ne perdez pas une seconde, appelez la vite, vous ne serez pas déçu.

 

                                                             sam

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