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Quelques jours de rêves...fin

 

 

Je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même. Je m’étais précipité comme souvent et j’étais stressé de revoir Maitresse.

Je répondis :

"Très bien Maîtresse, je pense être de retour vers 15h."

 Je ne perdais pas de temps. Il me fallut 2h30 pour être chez moi et effectivement, le cadeau de Maîtresse se trouvait sur la table. Il était midi, je repartis aussitôt sans manger.

260km aller retour pour une étourderie de ma part. Je fus de nouveau dans le parking de la porte Champerret à 14h30.

Je fis immédiatement ce texto :

"Je suis dans le parking, Maîtresse "

"Je t'attends à 15h, viens uniquement avec ton coupe-pluie et ta culotte en plastique blanche que tu porteras sur toi, tu n'auras pas besoin de vêtements cette fois-ci. "

Ce message était clair pour moi, cette fois ci, il n'y aurait pas de courses avec Maîtresse. A 15h précises :

"Je suis dans le hall, Maîtresse "

"Parfait, je descends, je veux te trouver à genoux, mains sur la tête, face à la porte de la cave."

Je m'exécutais. Quelques instants après, l'ascenseur descendit. La porte s'ouvrit. Maîtresse me trouva dans la position ordonnée.

"Bonjour, Maîtresse."

Pour toute réponse, je reçus une magistrale paire de gifles.

"Celle là, tu ne l'as pas volée. "

Maîtresse me conduisit directement au cachot et après avoir ouvert la porte :

"A genoux, mains dans le dos."

De nouveau, Maîtresse m'infligea une violente paire de gifle."

"J'attendais ce moment depuis fin Juillet."

Puis Maîtresse m'expliqua le déroulement des prochaines 48h.

"Tu vas rester dans ce cachot 48h de suite, sans aucune sortie à espérer, dans le noir complet et sans manger."

Bizarrement, l'écouter m'excitait.

"Je viendrai t'apporter une soupe si j'en ai envie "

"Merci, Maîtresse "

"Après ces 48h, tu monteras pour recevoir une terrible correction. Tu as 48h pour méditer et cette fois, pas de portable, tu n’auras aucune notion du temps qui passe."

"Très bien, Maîtresse."

Après lui avoir donné son cadeau, Maîtresse vérifia que je n'avais ni à manger, ni montre, ni lampe.

Elle prit les bocaux d'asperges que je lui avais apportés.

Elle jeta les 2 couvertures sur le sol. J'avais pris de nouveau une bombe muguet et des pastilles menthe.

"Parfait, tout est en ordre pour ta très longue pénitence, as tu quelque chose à me dire?"

"Je vous demande pardon pour la conduite déplacée que j'ai eu envers vous, Maîtresse "

"En effet, ton comportement envers moi a été inacceptable et c'est pour cette raison que je vais te laisser moisir au cachot."

 

 Voilà, j'étais prévenu, je m'apprêtais à passer les 48h les plus longues de ma vie.

"Je te laisse, sac à merde, médite sur ta condition."

La porte du cachot se referma derrière Maîtresse, je me retrouvais dans le noir très vite. Je repensais à ce que Maîtresse venait de me dire. Aucune sortie pendant 48h suivie d'une sévère correction.

Je n'étais pas inquiet pour la diète car en Juillet, j'étais resté 4 jours sans manger, là, il ne s'agissait que de 48h.

Par contre aucune sortie, allais-je le supporter. Je ne voulais pas décevoir Maîtresse et de toute façon quoiqu'il arrive, elle ne me laisserait pas partir sauf malaise de ma part. J'étais cependant confiant dans mes capacités à tenir.

Comme en Juillet, pour tuer le temps et m'empêcher de gamberger, je récitais tout bas les récitations.

Il fallait que je m'occupe l'esprit. Je ne revis Maîtresse que le lendemain. Je savais que c'était le jour suivant, grâce  au petit filet de jour qui passait dans le cachot.

Dès que la porte de la cave s'ouvrit, comme en Juillet, je me mis à genoux, mains sur la tête, après avoir parfumé le cachot de muguet. Quand je dis revis Maîtresse, ce n'était pas vraiment le terme, car une fois derrière la porte :

"Tu vas bien, sac à merde?"

"Oui, Maîtresse."

"Parfait, alors  continue de méditer sur ce qui t'attend demain après-midi ».

Et sans dire autre chose, elle repartit.

Cette fois, je compris que je ne sortirai vraiment pas avant les 48h promises. Maîtresse serait inflexible.

Elle redescendit plus tard, beaucoup plus tard. Après avoir ouvert la porte du cachot qui me permit d'entrevoir la lumière du couloir, elle me dit :

"Lève-toi, face au mur "

Elle m'attacha en croix sans aucune défense possible de ma part.

"Ce serait trop simple de te laisser libre de tout mouvement, j'ai envie que ce soit plus inconfortable pour toi, plus difficile à tenir."

 Je reçus une nouvelle paire de gifles.

"Voilà, pour avoir oublier de me dire merci "

 

"Regarde, comme elles sont belles "

Maîtresse me présenta un sac rempli de branches d'orties fraiches. Elle fit glisser ma culotte en plastique blanche et y déposa une dizaine de branches qui allaient soigneusement envelopper le devant et le derrière de la culotte et remonta celle ci sans aucun ménagement.

" houuuuu ha…. "

 Mes fesses et toutes les parties de devant étaient en feu. Maîtresse s'amusa de mes souffrances atroces.

Les orties étaient extrêmement piquantes. Je retrouvais le rire de Maîtresse que j'aimais tant.

Elle s'amusa également à écraser mes tétons avec ses doigts, ce qui très vite provoqua les pires souffrances au plus grand plaisir de  Maîtresse.

Elle alternait le supplice de mes tétons et les caresses appuyées sur ma culotte afin de bien me faire sentir les orties.

A un moment, elle enleva les branches pour en remettre d'autres qui me firent  pousser des cris de  souffrances, et d'affreuses grimaces et fit rire Maîtresse de bon cœur.

«J'aime te voir souffrir pour moi, cela m'amuse beaucoup »

 Maîtresse faisait sa sadique au maximum et je dois l'avouer, j'aimais beaucoup cela.

"Bon, je me suis suffisamment amusée et tu m’as bien fait rire, mais j’ai autre chose à faire, je te laisse sam."

"Vous ne me détachez pas, Maîtresse?"

"Non, pas envie, j'aime te savoir attaché en croix pendant que je vaque à mes occupations "

Et Maîtresse me laissa ainsi.

Le souvenir de Juillet me revenait et je savais que cela allait être très pénible à supporter.

Avant de fermer la porte du cachot, Maîtresse me dit :

"Pendant que tu es là cloué au mur, sam, moi je vais au cinéma, à tout à l’heure." Me dit elle avec un large sourire moqueur.

Maîtresse était chipie et garce à la fois, et c’est ce que j’aimais chez elle.

Le fait que Maîtresse aille au cinéma me fit comprendre de suite que j'allais devoir rester dans cette position très inconfortable au moins 3h de suite.

Ce qui est très dur dans ces cas là c'est de ne pas savoir l'heure qu’il est. 3h au moins à tenir et peut-être plus si Maîtresse en avait envie.

Je m'efforçais de rester calme et au bout d'un moment, je récitais les punitions, je m'étais fixé de les réciter 100 fois chacune.

Une nouvelle fois, je trouvais le temps interminable.

Je ne sentais plus mes mains. Dans ces cas-là, on pense beaucoup et à beaucoup de choses telles que :

"et si Maîtresse avait un accident l'empêchant de venir me libérer et si et si.... "

J'étais presqu'arrivé à la fin des punitions récitées quand je fus soulagé d'entendre la porte de la cave s'ouvrir. Heureusement, c'était bien Maîtresse.

Elle ouvrit la porte et dit :

"Comment va mon chien? "

"Je souffre, Maîtresse "

"Parfait tu ne t'attendais tout de même pas à ce que ce soit le Club Med, ici ? "

"Non, bien sûr, Maîtresse "

Maîtresse me délivra, je ne sentais plus du tout mes mains.

"Allonge toi par terre "

Je savais ce que cela signifiait. En effet Maîtresse me dit :

"Prends l’entonnoir."

Cela tombait bien car je commençais à avoir une petite faim et cela allait me remplir un peu. De nouveau, j'allais voir le spectacle de ses magnifiques fesses et de sa croupe. Mais cette fois, Maîtresse avait décidé de faire sa sadique, car tout en s’accroupissant, elle torturait très fortement mes tétons.

"Arrête de gigoter, sac à merde ou j'arrête de suite. "

Je résistais tant bien que mal à la douleur provoquée par ses ongles. Maîtresse est vraiment une experte pour la torture des tétons. Une fois terminé, elle se rhabilla et me dit :

"A demain, je viendrais te délivrer à 15h pour recevoir la correction que tu mérites"

Je reçus une nouvelle paire de gifles pour ne pas lui avoir dit merci de m’avoir rempli, puis elle s'en alla en disant :

"Tu as le temps pour bien méditer sur ce qui t'attend demain. Crois-moi, cela va être très cuisant pour ton postérieur."

Je ne savais pas du tout l'heure qu'il pouvait être, peut être 17h ou 19h.

Je savais que cela allait être ma plus grande pénitence, près de 24h sans voir Maîtresse.

Elle voulait me punir de mon comportement insultant de Juillet et cette pénitence faisait partie de sa vengeance. J'étais devenu pour elle une merde sans aucune importance.

Inutile de dire que cette attente jusqu’au lendemain 15h allait être extrêmement pénible.

Et elle le fut car Maîtresse comme promis ne vint me délivrer qu'à 15h sans être descendue une seule fois depuis la veille. Maîtresse m'avait promis 48h de pénitence et elle s'y est tenue.

En entendant la porte de la cave, ce fut une délivrance pour moi malgré ce qui m’attendait.

Maîtresse ouvrit la porte.

"C'est quoi cette position, à genoux de suite "

Mince, j'avais oublié mes obligations comme à chaque fois qu’elle venait me voir. Une fois à genoux, Maitresse me gifla si fortement que j’eue 2 belles marques à cause de sa bague qu’elle garde toujours à son doigt.

"Pardon Maîtresse"

"As-tu bien médité sur ce qui t'attend maintenant ? "

"Oui, Maîtresse "

"Crois moi, tu vas regretter toute ta vie de m'avoir offensé en Juillet. Enfile ton coupe-pluie, j'ai hâte de te corriger "

J'enfilais mon unique vêtement et nous quittâmes ce cachot qui m'avait accueilli pendant 48 h. Nous montâmes chez elle. Moi par l'escalier

et Maitresse par l'ascenseur. Une fois chez elle :

«Salle de dressage, je n'ai pas de temps à perdre».

Je me retrouvais tout nu devant la table de massage mais qui servait aussi de torture. Elle m'attacha solidement entravé sur la table, mes fesses bien offertes.

"Voilà le moment que j'attendais, tu as peur sam "

"Oui, Maîtresse "

"Tu as raison d'avoir peur car je ne vais pas t’épargner."

Ne disant rien :

"Combien de coup, penses tu mériter? "

"10 coups, Maîtresse "

Pour cette réponse, je reçus un coup de trique très violent qui me fit sursauter de douleur.

"Tu te fiches de moi, 10 coups seulement pour ton infâme attitude envers moi, je crois que je n'ai pas bien entendu "

"100 coups, Maîtresse. "

"Voilà qui est mieux "

et elle ajouta :

"100 coups sur chaque fesse, "

Après une grande hésitation, je dis :

"Oui, Maîtresse "

"Et bien voilà qui est parfait "

200 coups, allais-je les supporter. Maîtresse me présenta 5 instruments différents et me dit :

"20 coups avec chaque instrument et pour chaque fesse"

 Mes fesses étant offertes et sans défense, Maîtresse me dit :

"Prêt, sam? "

"Oui, Maîtresse "

Le 1er coup s'abaissa sur mes fesses et déjà, je sursautais.  Au bout de 10 coups, mes fesses commençaient à ne plus supporter. Maitresse l’avait fait exprès, elle avait commencé à faire pleuvoir les coups sans préparation, sans aucun ménagement.

Maîtresse ne retenait pas son bras et elle frappait fort. A vingt, elle s'arrêta pour me laisser récupérer :

"Tu as déjà de belles traces, sam."

Je ne sais pas pourquoi mais je me surpris à dire :

"Merci, Maîtresse."

En tout, Maîtresse passa près d'une heure, par dix séries de vingt à s'occuper de mettre le feu à mes pauvres fesses.

Je n'oublierai jamais le 200ème coup où Maîtresse avait frappé de toutes ses forces. Un cri s'échappa de ma bouche.

"Voilà, sam, nous sommes quittes, je te devais cette correction pour t'apprendre les bonnes manières"

"Merci, Maîtresse."

Je fus soulagé que ce soit terminé et fier d'avoir tenu le coup. Cette correction avait été très éprouvante pour moi.

Cela  me donnait à réfléchir, à ne plus jamais m'emporter contre Maîtresse, et de toujours la respecter. J'étais heureux de ne pas avoir déçu Maîtresse une nouvelle fois. J'étais surtout heureux de rester dans le royaume de Maîtresse  Angie…

A coup sûr, de nouvelles aventures vont se présenter en 2015 et je me ferai un plaisir de vous les conter.

En attendant, je vous recommande vivement, Maîtresse Angie, vous ne serez pas déçu, que vous soyez novice ou pas.

Mais attention, si elle vous laisse entrer dans son univers, vous ne pourrez plus en sortir.

                                                                          

 

 

Sam

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